En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour vous proposer des contenus ciblés adaptés à vos centres d’intérêts et réaliser des statistiques de visite.
Conservation et accès aux informations

La conservation d’informations ou l’accès à des informations déjà conservées sur votre appareil, par exemple, des identifiants de l’appareil, des cookies et des technologies similaires.

Google analytics

Les cookies de google analytics permettent de connaitre la fréquentation du site.

Microsoft Clarity

Les cookies de Microsoft Clarity permettent de connaitre la frequentation du site et le parcour utilisateur.

Menu

CONFAGRICOLTURA et FNSEA : Des convictions européennes partagées et des objectifs communs, dans les dossiers prioritaires pour les agriculteurs français et italiens

30 octobre 2019

A l’occasion de leur rencontre cette semaine, le Président de la CONFAGRICOLTURA, M. Massimiliano Giansanti, et la Présidente de la FNSEA, Mme Christiane Lambert, ont partagé leur conviction commune en faveur d’une Europe forte, avec des politiques intégrées dotées des budgets adéquats.
 
Pour les deux organisations, la PAC doit rester une politique commune, avec une orientation véritablement économique.
 
Les contributions de la PAC en termes de sécurité alimentaire, d’aménagement des territoires, d’emplois et de croissance ne doivent pas être opposées aux actions de lutte contre le changement climatique, de protection de l’environnement et de la biodiversité. Au contraire, il est indispensable que la PAC concilie économie et durabilité environnementale, la durabilité reposant bien sur trois piliers, économique, environnemental et social.
 
Le jour où l’UE a accepté un Brexit au 31 janvier 2020, les deux Présidents ont également échangé sur la situation politique et économique de l’Europe. Ils ont réitéré la nécessité d’éviter une sortie non « ordonnée » du Royaume-Uni et l’importance de négocier une zone de libre-échange pour sauvegarder le commerce futur.
 
Face à la récente conclusion de l’accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur et à l’application des mesures de rétorsions américaines suite au panel Airbus, la CONFAGRICOLTURA et la FNSEA ont affiché leur unité et considèrent comme inacceptables les concessions et rétorsions imposées au secteur agricole européen. Sur le traité UE/Mercosur, en aucun cas, l’agriculture ne peut être utilisée par les négociateurs européens comme une variable d’ajustement. Sur les rétorsions américaines, il est impératif de prévoir au plus vite un plan d’accompagnement européen pour les secteurs les plus impactés
 
Les deux organisations ont également abordé le sujet essentiel de l’étiquetage de l’origine, qui est impératif pour protéger les agriculteurs et valoriser leur production.
 
Enfin, la CONFAGRICOLTURA et la FNSEA ont souhaité faire de l’innovation et des nouvelles technologies une priorité pour le futur de l’agriculture européenne. Face à la révolution numérique de l’agriculture et de la filière alimentaire actuellement en cours, les deux organisations ont rappelé l’importance de préserver les intérêts des agriculteurs. A ce titre, elles ont appelé à la mise en place d’initiatives permettant aux agriculteurs de maitriser les données issues de leurs exploitations et de pouvoir en retirer une valeur pour le secteur agricole. Les Présidents de la CONFAGRICOLTURA et de la FNSEA ont ainsi prévu d’intensifier leur collaboration en ce domaine.
 
Contacts presse :
FNSEA : Marion Fournier – 07 60 29 56 17 – marion.fournier@reseaufnsea.fr           
CONFAGRICOLTURA  – Contact Europe : Mme Cristina Tinelli – 00 32 477 81 54 44
 

Vous aimeriez lire aussi

Au racines de l’engagement : une série de podcasts FNSEA, au cœur du syndicalisme agricole
La FNSEA lance une nouvelle série de podcasts intitulée "Aux racines de l'engagement", une collection...
« Se lever au chant du coq, c’est notre quotidien »
Loïc, éleveur en Charente-Maritime Je suis installé depuis 2017, après avoir repris l’exploitation de mon...
« Revenons à nos moutons et à ceux qui les élèvent »
Christophe, éleveur en Charente-Maritime Je gère deux exploitations. Une SCEA avec 140-150 hectares de prairies,...