La question de la prédation, en particulier celle des loups ne cesse de prendre de l’ampleur dans les débats agricoles et politiques depuis une décennie en raison des dégâts conséquents générés principalement sur les troupeaux de brebis, de chèvres mais également de vaches et de chevaux.
Les échanges entre pouvoirs publics, organisations pro-loups, associations environnementalistes et organisations professionnelles agricoles se sont tendues ces derniers mois pour de multiples raisons : explosion du nombre de meutes et des attaques, colonisation de nombreux départements, comptages approximatifs, indemnisations insuffisantes, etc.
A la veille d’un cinquième plan loup (2024-2029)*, la FNSEA et quelques-unes de ses associations spécialisées (Fédération nationale ovine-FNO et Fédération nationale bovine- FNB, Fédération nationale du Cheval (FNC), Jeunes Agriculteurs et les Chambres d’Agriculture regroupés au sein du Conseil de l’agriculture française (CAF) ont organisé les Assises de la prédation à Chorges dans les Hautes Alpes pour dresser le bilan du plan national loup 2018-2023 arrivant à son terme et proposer des pistes de réflexions et des modes d’actions pour le futur plan national d’actions (PNA) 2024/2029 qu’ils voudraient voir renommé : « Plan de sauvegarde de l’élevage et du pastoralisme ».
Retrouvez la synthèse complète en cliquant sur le lien suivant : Synthèse assises de la prédation.pdf