En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour vous proposer des contenus ciblés adaptés à vos centres d’intérêts et réaliser des statistiques de visite.
Conservation et accès aux informations

La conservation d’informations ou l’accès à des informations déjà conservées sur votre appareil, par exemple, des identifiants de l’appareil, des cookies et des technologies similaires.

Google analytics

Les cookies de google analytics permettent de connaitre la fréquentation du site.

Microsoft Clarity

Les cookies de Microsoft Clarity permettent de connaitre la frequentation du site et le parcour utilisateur.

Menu

Coût du travail saisonnier : chaque euro compte

24 octobre 2018

Grace à la mobilisation totale du réseau FNSEA/JA et à l’écoute attentive de nombreux parlementaires, le Gouvernement a enfin entendu les conséquences catastrophiques induites par la suppression des dispositifs d’exonération de charges pour les employeurs agricoles de travailleurs saisonniers (TO-DE).

Par la voix de son Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Didier Guillaume, le Gouvernement s’est engagé à intégrer dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2019, une mesure d’atténuation des effets de la suppression des dispositifs TO-DE et CICE en portant la dégressivité de l’allégement général de charges à 1,15 SMIC, et ce dès le 1er janvier 2019.

C’est une avancée syndicale et parlementaire majeure mais qui ne doit pas masquer une réalité : 39 millions d’euros manqueront encore par rapport au dispositif d’exonération précédent.

La FNSEA et JA en appellent donc aux parlementaires pour compenser intégralement la suppression du TO-DE / CICE en portant la dégressivité à 1,25 SMIC, soit son niveau actuel.

Cette mesure est indispensable pour les secteurs agricoles les plus employeurs de main-d’œuvre saisonnière (viticulture, maraîchage, horticulture, arboriculture…), où chaque euro compte dans un contexte de concurrence accrue et de dumping social avéré avec nos concurrents européens.

Pour rappel, le coût du travail saisonnier est inférieur de 27% en Allemagne, 37% en Italie et 35% en Espagne.

Documents associés

CP – TODE

Vous aimeriez lire aussi

Gautier Moureu : la passion des bêtes
Éleveur porcin et bovin dans le Béarn, Gautier Moureu est amoureux de son métier et...
La FNSEA rejoint le programme « Ambassadeurs des métiers qui nourrissent », première plateforme numérique de rencontres professionnelles en Europe.
Attractivité et Renouvellement des générations en agriculture | La FNSEA rejoint le programme "Ambassadeurs des...
Grand rendez-vous FNSEA : L’innovation au service de l’attractivité des métiers du vivant 
Le constat est implacable : la moitié des agriculteurs actuellement en activité partiront à la...