250 brebis viennent d’être tuées, par dérochement, à la suite de l’attaque d’un ours en Ariège.
C’est un drame effroyable pour 2 éleveurs ariègeois dont l’un perd la totalité de son troupeau et l’autre, jeune agriculteur, 50 animaux.
L’aveuglement des pouvoirs publics et des associations de défense des prédateurs n’ont que faire de la détresse, du mal être des éleveurs et de leurs familles atteints dans leur chair par ces attaques répétées. Rien d’autre ne les intéresse plus que d’étouffer à petit feu toute vie rurale au bénéfice d’un ensauvagement des territoires. Ce sont les mêmes qui réclament plus de biodiversité, plus de paysages. Demander une chose et son contraire ne les effraie pas le moins du monde !
Les éleveurs redisent qu’ils sont fiers de leur métier, fiers de leur travail pastoral riche en aménités, fiers d’œuvrer pour des campagnes pyrénéennes vivantes et accueillantes. Ils veulent continuer à vivre en hommes libres. Les éleveurs sont excédés d’être bâillonnés et de subir des contraintes imposées d’en haut.
FNSEA/JA/FNO/FNB/FNC/APCA demandent :
Le sentiment de déclassement et de mépris est à son comble. Le gouvernement ne doit pas attendre le point non-retour pour prendre des décisions de bon sens. Il y a urgence !