En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour vous proposer des contenus ciblés adaptés à vos centres d’intérêts et réaliser des statistiques de visite.
Conservation et accès aux informations

La conservation d’informations ou l’accès à des informations déjà conservées sur votre appareil, par exemple, des identifiants de l’appareil, des cookies et des technologies similaires.

Google analytics

Les cookies de google analytics permettent de connaitre la fréquentation du site.

Microsoft Clarity

Les cookies de Microsoft Clarity permettent de connaitre la frequentation du site et le parcour utilisateur.

Menu

Gardez vos ours et fichez la paix aux éleveurs

28 juin 2019

250 brebis viennent d’être tuées, par dérochement, à la suite de l’attaque d’un ours en Ariège.

C’est un drame effroyable pour 2 éleveurs ariègeois dont l’un perd la totalité de son troupeau et l’autre, jeune agriculteur, 50 animaux.

L’aveuglement des pouvoirs publics et des associations de défense des prédateurs n’ont que faire de la détresse, du mal être des éleveurs et de leurs familles atteints dans leur chair par ces attaques répétées. Rien d’autre ne les intéresse plus que d’étouffer à petit feu toute vie rurale au bénéfice d’un ensauvagement des territoires.  Ce sont les mêmes qui réclament plus de biodiversité, plus de paysages. Demander une chose et son contraire ne les effraie pas le moins du monde !

Les éleveurs redisent qu’ils sont fiers de leur métier, fiers de leur travail pastoral riche en aménités, fiers d’œuvrer pour des campagnes pyrénéennes vivantes et accueillantes. Ils veulent continuer à vivre en hommes libres. Les éleveurs sont excédés d’être bâillonnés et de subir des contraintes imposées d’en haut.

FNSEA/JA/FNO/FNB/FNC/APCA demandent :

  • qu’un soutien moral et psychologique soit apporté aux éleveurs meurtris et à leur famille ;
  • que les préjudices économiques subis soient immédiatement réparés pour que les 2 éleveurs concernés puissent reconstituer leur troupeau ;
  • que les demandes et les attentes des ruraux de terrain priment sur les lubies des décideurs parisiens hors sol;
  • que soient éliminés tous les ours qui s’attaquent aux troupeaux.

Le sentiment de déclassement et de mépris est à son comble. Le gouvernement ne doit pas attendre le point non-retour pour prendre des décisions de bon sens. Il y a urgence !

 

 

Documents associés

20192706 CP COMMUN ours

Vous aimeriez lire aussi

65% des mesures annoncées ne sont toujours pas arrivées dans les cours de fermes
La FNSEA assure le suivi des mesures annoncées, dont 65% ne s’est pas concrétisé dans...
Au racines de l’engagement : une série de podcasts FNSEA, au cœur du syndicalisme agricole
La FNSEA lance une nouvelle série de podcasts intitulée "Aux racines de l'engagement", une collection...
« Se lever au chant du coq, c’est notre quotidien »
Loïc, éleveur en Charente-Maritime Je suis installé depuis 2017, après avoir repris l’exploitation de mon...